Christian Lapie



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Installations

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Face au Silence, 2008

Knokke, Belgique (Belgium)

Gallery: Final work

Summary

10 sculptures tracent le chemin depuis Meerlaan à Scharpoord, en chêne chacune extrai
te d'un seul arbre, la 11ème pièce en fonte référence est faite aux constellations et aux astres. 7 pièces en bronze sont présentées durant le salon art nocturne.

One man show sur la promenade sculpture 15ème culpture Art Link du 1 au 31 Août 2008
33ème salon des Arts et Antiquités au Centre Culturel Scharpoord


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Un lieu extraordinaire, inhabituel pour les sculptures de Lapie permettent de replacer l'homme face à la nature; entre mer, digue, et territoire naturel sauvage juste avant les espaces de ville et d'industrie, c'est recentrer notre dimension d'homme par rapport à cette nature. Cette exposition nous permet d'en prendre toute la mesure.


Nous la foule regardons le silence, silence, simplicité, unité.
La symbolique du bois dans une liaison terre ciel offre à notre regard et à notre pensée l'occasion d'une confrontation sereine et d'une sublime élévation.
Fendre,extraire une figure qui révèle l'homme, mettre à jour sa mémoire par l'intérieur de l'arbre puis créer des figures qui sont autant de projections de nos problèmes heureux et malheureux, puis les regrouper, les ramener à l'unité.
Les quatre éléments sont réunis eau, sable, air, feu, Lapie nous permet de revenir à nos origines, retrouver nos racines, notre raison d'être, d'être humains.

Un temps exceptionnel, le mois d'Août, temps de foule, châteaux de sable, crèmes glacées, réunions de famille, temps de lecture, de repos aussi.
Les sculptures de Christian Lapie sont là au milieu de nous, nous révélant ce que nous y cherchons. Quelque part entre archaïsme et modernité, entre primitif et pur concept.
Ces figures rassemblées en nombres différents se dressent silencieuses comme immuables, comme pour mieux nous troubler pendant ce temps d'arrêt bien particulier de “vacances”.

Un acte “La forme se distingue de la matière et du fond, mais non l'inverse. Les figures se dissipent, quand elles se réfléchissent dans le fond qui remonte. Il me faut faire remonter ce fond pour dissoudre la forme. Ce fond qui remonte n'est plus au fond, mais acquiert une existence autonome ; les figures se qui réfléchissent dans ce fond ne sont plus forme, mais ligne abstraite agissant directement sur l'âme.”